MALAISIE - PT. 2 : PENANG
On débarque donc du Ferry à Penang, l’autre île du nord-ouest du pays. L’endroit est moins sauvage et beaucoup plus développé… mais toujours aussi « roots ».
On découvre notre chambre en guest house – remarquez le « plancher voyeuriste ». Ikéa, si tu nous entends…
Fait amusant, les toilettes sont communes. Amusant tant que l’on ne passe pas après Xavier.
Bon, pas grand-chose à faire dans l'immédiat vu qu'on arrive le soir, d’autant plus que tous les commerces et restaus chinois sont fermés (c’est aussi le nouvel an lunaire pour eux, il y a une très grosse communauté chinoise sur l’île).
Tant pis, on se rabat sur un indien :
Le lendemain, on prend le bus en mode « mais où est-ce qu’on va encore… ».
C’est n’importe quoi sur la route : tout est bouché car c’est un peu comme le premier janvier ici.
On arrive au pied du temple Kek Lok Si.
Dans la rue avant l’entrée on peut acheter un varan – avis aux amateurs.
La montée est étroite et jonchée de boutiques, c’est la cour des miracles.
On arrive à mi-parcours, on assiste à un « mouvement de foule » de tortue.
Le temple est superbe, sans aucun doute le plus grand et le plus beau que l’on ait visité en Asie.
En plus, tout est fleuri et décoré pour le Nouvel an.
D’en haut, on a une vue sur le temple et une partie de l’île :
A noter, un bouda noir (ne pas confondre avec le fameux boudin créole... pouet) … et aussi un autre bouda qui se fait un joint :
Puis on prend le taxi pour aller au jardin botanique.
Sur place, encore des singes, toujours des singes :
Mais aussi des arbres et des fleurs bizarres :
Puis on retourne sur Georgetown, le centre-ville, pour visiter un peu les quartiers chinois, indiens, malais… On ne sait plus où on est, il y a vraiment de tous les styles :
On peut d’ailleurs prier le dieu qu’on veut ici :
Tout ce choix, ça n’empêche pas les malais de dormir :
En tout cas nous, le soir, on décide de ne pas aller prier...
... et de ne pas aller au ciné non plus :
Par contre on va prendre l’apéro sur le port, dans un genre de « food-court » local.
Le principe : on se sert au stand et on va se poser où on veut.
On tente un plat local, le Pasembur, une salade locale faite de diverses fritures de seafood ou poissons, trempée dans une sauce sucrée-épicée. On vous avait prévenu, les toilettes communes, ce n’est pas pour nous que c’est un problème…
On passe une nouvelle nuit agitée : chiens qui hurlent à la mort, pétards et feux d’artifices à toutes les heures de la nuit, appel à la prière hyper tôt (Dieu, lui, n’est pas en vacance).
Mais on se lève quand même tôt pour prendre le bus, direction le parc national de Penang.
A faire : trekking en forêt et plages essentiellement, vu que d’autres activités marrantes sont interdites :
On décide de partir en rando - ça tombe bien on était venus en tongs – pour traverser le parc et rejoindre la côte.
On enclenche la vitesse inférieure - marmotte oblige :
Après 1h30 de …
… et de …
… et aussi un peu de …
… on arrive en terre promise :
Bon on découvre sur place qu’on pouvait y accéder en bateau.
Tant pis, on repart encore à pied.
Au retour, on croise des grosses bébêtes. Entre gros lézards et fourmis géantes, à vous de choisir…
L’aprèm on décide de traîner sur la plage, se reposer un peu et refaire un peu le tour du centre.
Demain, on se lève encore tôt pour partir à Cameron Highlands, la troisième étape de notre voyage.